Secrétaire Coquine en Maison de Retraite : Mon Fantasme Réalisé
Récit érotique intense raconté par Evy, hôtesse de téléphone rose, entre jeu de séduction, culot et plaisir interdit
11/9/20253 min read
Je me présente, Evy, jeune célibataire de 26 ans. Je suis sortie de ma vie étudiante depuis peu de temps. Je travaille maintenant en tant qu’hôtesse de tel rose. Le téléphone coquin me permet de ressentir des sensations fortes en ligne. Avoir une conversation torride en direct m’excite énormément. Je suis une hôtesse très libérée et très ouverte. J’adore avoir des discussions chaudes. Je n’hésite pas à confier certaines parties de ma vie intime à certains clients.
Dernièrement, un client a souhaité qu’on joue un scénario : celui de la secrétaire. Un classique. J’en ai profité pour lui raconter mon expérience en tant que secrétaire administrative.
Ça se passait un mois après l’obtention de ma maîtrise en lettres. À ce moment-là, je venais de terminer mes études et j’avais décidé de postuler pour un poste de secrétaire administrative dans une maison de retraite. Je suis donc devenue une secrétaire sexy. Sexy à tel point que les infirmiers et les médecins ne pouvaient pas s’empêcher de poser leur regard sur mon corps lorsque je sortais de derrière mon bureau.
J’étais une jeune femme plutôt fine mais avec de gros seins, un 100C. Brune, cheveux longs. Mes yeux étaient d’un marron profond. Dans la maison de retraite, les hommes me désiraient et les femmes me détestaient.
Mon patron se nommait Christophe. Pour un boss, il était plutôt gentil. Il avait une certaine prestance, mais ce n’était pas vraiment le genre d’hommes que l’on remarque d’emblée. Cependant, c’était un homme juste au travail. Brun, avec quelques cheveux blancs qui lui donnaient du charme. Âgé de 45 ans, marié, trois enfants. Sa famille ne semblait pas être sa priorité. Il restait très souvent tard au travail. Nous étions souvent les derniers à partir.
Dans ces moments-là, il en profitait pour me demander comment je me sentais dans la maison de retraite. Je ne lui disais pas que les femmes me détestaient et que les hommes m’imaginaient en train de leur sucer la bite. Je n’étais pas du genre à me plaindre. Je lui répondais souvent que j’aimais mon travail et que je l’appréciais énormément en tant que patron.
Un jour, Christophe me convoqua dans son bureau pour me demander de prendre des notes lors d’une visio-conférence. Nous étions donc tous les deux à la grande table de réunion, côte à côte, devant l’écran. Nous étions très proches l’un de l’autre. Mais au lieu de regarder l’écran, Christophe ne cessait de regarder mes jambes. Ce jour-là, je portais une mini-jupe tailleur avec la veste assortie.
J’étais gênée, parce qu’il était marié. Pourtant, Christophe ne me laissait pas indifférente. Je décidai de jouer un peu. Cela ne m’engageait à rien. J’écartai légèrement les cuisses, comme si de rien n’était, pour lui laisser entrevoir mes sous-vêtements sexy. Il voyait parfaitement ma lingerie noire et mon porte-jarretelles. Mon patron était excité. Il se rapprocha un peu plus et posa sa main sur ma cuisse. Je fis mine d’être déconcertée, mais en réalité j’attendais ça.
Je glissai ma main vers son entrejambe. Nous étions toujours en visio, et je caressais la queue de mon patron sous la table. Je sentais qu’il avait hâte que la réunion se termine. Sa bite devenait de plus en plus grosse, de plus en plus dure.
La réunion se termina enfin. À peine l’ordinateur éteint, Christophe avait déjà le pantalon baissé. J’étais très chaude et j’avais envie de lui. Je me mis à genoux pour prendre sa queue en bouche et lui offrir une fellation bien goulue.
Puis je m’installai sur la table de réunion, cuisses écartées, jupe relevée. Mon patron se mit à me lécher la chatte, déjà trempée. Il me glissa un doigt, puis enfonça sa queue dans ma fente humide. Il me baisait fort, longuement, et il me fit jouir comme jamais.
Je lui offris mes gros seins pour lui faire une branlette espagnole, entre mes seins laiteux et fermes. Christophe finit par éjaculer de grosses giclées de sperme sur ma poitrine généreuse. J’en avais jusqu’au visage. Je me sentais comme une grosse salope à ce moment-là. Et j’avais honte d’avoir couché avec un homme marié.
À la fin de mon récit, le client m’a déculpabilisée. Il m’a dit qu’en plus, mon histoire l’avait fait jouir. Il a adoré imaginer mon patron inondant mes seins et mon visage. Finalement, le téléphone rose permet parfois de voir le meilleur côté des choses.
